Alors que le glacier pédophile faisait sa tournée dans Twinbrook, une jeune femme s'apprêtait à rentrer chez elle.

"Oh, bonjour mes petites, je crois que cette bête vous appartient, fit-elle en désignant le chien qui à côté d'elle frétillait joyeusement de la queue en se frottant à celle qui l'avait raccompagné ici.
Diane : TARTIFLETTE !"


Cette jeune femme était magnifique. Ses cheveux d'or lui tombaient avec sensualité sur la poitrine. Sa bouche pulpeuse rouge vermillon était la seconde chose que l'on remarquait chez elle.
VJ avait de la chance d'avoir une femme aussi délicieuse que celle-ci.

" Pardon, vous ne devez pas me connaître encore. Moi oui. Je m'appelle Proxima.
Apolline : Je crois que je vous ai déjà vue sur l'une des photos accrochées au salon !
Proxima : C'est possible."


Apolline courut serrer son chien dans les bras. Elle ne s'imaginait pas vivre sans lui.


De l'autre côté de la pièce, un petit garçon sauta sur sa mère pour l'enlacer. Cela faisait deux jours qu'il ne l'avait pas vu. Proxima ne rentrait que très rarement à la maison, son travail lui prenant la majeure partie de son temps.

"Maman !!
Proxima : Oh, mon petit Jay ! Tu m'as tellement manqué !"


"Diane : Tiens ? Tu abandonnes ton pantalon de garçon manqué ?
Apolline : Oui mais celui-ci me serre un peu...
Diane : Tu es très jolie.
Apolline : Tu trouves ?"


"Diane ; Jay va craquer en te voyant.
Apolline : Hahaha...tu dis n'importe quoi." rougit-elle
 

"Apolline : Hey ! Jay, c'est bien ça ?
Jay : Il paraît.
Apolline : Tu veux aller au parc avec moi ?
Jay : Chic ! La maison de l'horreur a ouvert ses portes.
Apolline : Euh..."


"Jay : Eh bien quoi ? Ne me dis pas que tu as la frousse ?
Apolline : Non non non...pas du tout enfin ! Tu me prends pour qui !"

 "Jay : Et quel âge as-tu Apolline ?
Apolline : 10 ans et demis et toi ?
Jay : Oh, seulement 9 ans.
Apolline : Ça va, c'est une différence d'âge supportable !
Jay : Comment ça ?
Apolline : Laisse tomber."


"Apolline : C'est la première fois que je vois un Icaricia icarioides missionensis !
Jay : Tu parles latin ?
Apolline : Bien sûr, pas toi ?"
 
(J'adore cette photo)


"Apolline : Ça ne m'inspire pas vraiment confiance ton truc.
Jay : Il faut te dire que ce ne sont que des figurants déguisés en monstres."


Lorsqu'ils ressortirent en un morceau de la maison de l'horreur, deux enfants, un garçon et une fille se tenaient droit devant eux. La fille était plutôt petite et avait de longs cheveux roux. le garçon, lui semblait avoir une dizaine d'années et portait une longue veste brune. Ils semblaient sortis tout droit d'une autre époque avec leurs habits faits à la main, comme autrefois.
"Est-ce que vous voulez jouer avec nous ?" demanda timidement la fille, la tête rivée au sol.


"Jay : Eh bien nous nous apprêtions en réalité à rentrer chez nous alors..."
Subitement, un sentiment étrange s'empara d'eux, une sensation de mal-être inexplicable. C'est alors que les deux enfants relevèrent la tête. Le sang d'Apolline ne fit qu'un tour.

"Apolline : Leurs yeux !" chuchota-t-elle, en perdant presque son latin.

Leurs yeux étaient totalement noirs, sans pupille ni iris, comme deux cavités creuses et brillantes, d'une noirceur qu'aucun mot ne pouvait décrire avec précision. Malgré un sentiment de panique très fort, Apolline restait figée sur place, incapable de détourner les yeux. De hurler elle en avait envie, mais les sons s'étranglaient aussitôt dans sa gorge. Son corps ne répondait plus. Le garçon insista, il les supplia encore une fois de jouer avec eux. Sa voix se fit plus pesante, le ton était presque autoritaire. Jay restait tout aussi figé, mais surtout, il ne comprenait pas.
 

Les enfants aux yeux noirs s'approchèrent d'Apolline et le garçon la saisit fermement par le bras, l'empêchant ainsi de partir.
"Nous te trouverons, fit le garçon d'une voix qui semblait sortie d'outre tombe, toi et ta sœur, et nous vous tuerons."
La petite rousse quant à elle, se contentait de fixer Apolline avec insistance. Son visage était inanimé et dénudé de toute émotion.


Soudain, Jay sortit de son mutisme et fonça de toutes ses forces sur le garçon, libérant ainsi Apolline de son emprise. Il la mit en sécurité derrière lui et d'un air qu'il voulait convaincant, ordonna aux enfants de laisser son amie tranquille.
"Jay : Vous n'êtes vraiment pas marrants. D'accord, c'est bientôt Halloween et vos lentilles de contact noires sont très bien réussies, mais je vous prie d'arrêter d'embêter mon amie !"

"Bien tenté le gnome, croassa le gamin, mais ce ne sont pas des lentilles."


N'écoutant que leur instinct de survie, Jay et Apolline s'élancèrent à toute vitesse. Tout ce qu'il leur importait maintenant c'était de fuir, et de fuir loin. Il fallait courir vite.

"Apolline : Alors ? Tu trouves quelque chose ?
Jay : C'est effroyable !
Apolline : QUOI ?
Jay : Les enfants que l'on a croisés, il y a plein de légendes urbaines qui en parlent !
Apolline : Qu'est-ce que ça dit ?
Jay : Des tas de choses plus ou moins sérieuses. Certains disent que ce sont des démons. D'autres parlent d'âmes perdues, de vampires ou...simplement d'une blague. Il n'y a aucune preuve de leur existence, certes, mais il n'y a aucune preuve qui permettrait de dire qu'ils n'existent pas."


Le soir, à table...
"Jay : Maman ? Tu crois aux créatures surnaturelles ?
Proxima : Non pas vraiment.
Jay : On en a croisé tout à l'heure au parc, en sortant de la Maison de l'horreur avec Apolline !
Proxima : Bouuuh ! C'était quoi ? Des fantômes ?
Jay : Non...des enfants comme nous mais avec des yeux tout noirs."


"Proxima : Haha ! Tu entends ça Vél' ? 
Vélijlewan : Sans doute que cette année la Maison de l'horreur est particulièrement réussie. On devrait y faire un tour !"


"Apolline : Je tiens à préciser que j'étais avec Jay. Ces enfants étaient réellement effrayants ! 
Éliane : Ma petite chérie, les créatures surnaturelles ne sont que des légendes. Camille avait dans sa jeunesse cru se faire mordre par un vampire mais en réalité, ce n'était qu'une vieille femme un peu pâle qui aimait faire peur à ses voisins. On avait bien rigolé lorsque Camille était restée une journée clouée au lit, pensant qu'elle allait se transformer en monstre."


Un peu plus tard...
"Diane : Rassure-moi, tu l'as inventée cette histoire d'enfants aux yeux noirs ?
Apolline : Pas du tout, ils ont même parlé de toi. Ils ont dit qu'ils allaient nous retrouver et nous tuer."


"Diane : S'il s'agissait réellement de leur dessein, je veux que tu saches que je serai toujours là pour veiller sur toi. Bonne nuit !
Apolline : Bonne nuit 
 
Apolline était pourtant certaine d'avoir réellement vu ces enfants, si effrayants et envoûtants à la fois.

"Apolliiiiiiiiiine !!!" hurla une voix 5 mètres plus bas extirpant celle-ci de son sommeil. Elle se leva avec difficulté, le dos meurtri par le plancher en bois de la cabane. Lentement, elle descendit une à une les marches de l'échelle.


Arrivée en bas, sa sœur lui sauta dessus telle une furie.
Diane : "On part ce matin, tu t'en souviens ? fit-elle toute heureuse
Apolline : -Oui...oui bien sûr, allons-y" répondit la petite fille encore ensommeillée.

Leur départ, plus qu'un choix était une nécessité. Une question de vie ou de mort peut-être. Comment voulez-vous rester sous le même toit qu'un homme qui avait étranglé sa vieille femme ? Tout ça pour un fichu héritage qu'il ne toucherait jamais, on l'espérait.


Il ne faisait pas spécialement chaud malgré le réchauffement climatique que l'on annonçait depuis des années. Les deux sœurs marchaient sur la route depuis quelques minutes, leur chien sur leurs pas. Ce dernier vieillissait et son pas était lent et maladroit.


Apolline : "Tu te rends compte qu'on est seules au monde maintenant ? fit-elle en brisant ainsi le silence.
Diane : - Et alors ? Cela pose un problème ?
Apolline : - Absolument pas, nous sommes libres. Alors par où on commence ?
Diane : - On pourrait regarder le soleil se lever et aller acheter des friandises lorsque l'épicerie ouvrira.


Apolline : - C'est impressionnant de voir le monde quand on est habitués à rester enfermés chez soi à regarder des séries avec des zombies.
Diane : - J'espère qu'on en croisera pas.
Apolline : - Mais non, ça n'existe pas dans la vraie vie !
Diane : - Je t'assure que si !"


La journée parut interminable tant il y avait de choses à faire en ville. Parfois, elles regardaient le ciel en pensant à Camille. Puis, elles profitaient du parc à jeux qui, à cette heure-ci de la journée, était désert. Ensuite, lorsque la ville se réveilla et que certains commençaient le travail alors que d'autres qui avaient passé la nuit à faire la fête rentraient chez eux, les deux filles observèrent en cachette l'agitation du centre-ville.

Enfin, épuisées elles aussi par leurs aventures en milieu hostile, elles s'allongèrent près d'un tas de feuilles mortes fraîchement ratissées, fermèrent les yeux et s'endormirent.


Lorsque Diane ouvrit les yeux, elle eut la surprise de se réveiller dans une chambre d'enfant. Il ne s'agissait cependant pas de la sienne. Diane retira la couette, se leva avec méfiance et tapota l'épaule de sa sœur.

Diane : "Lili ! Réveille-toi !"
La fille aux cheveux blonds se réveilla encore une fois avec difficulté.
Apolline : "Je rêvais putain ! fit-elle avant de s'exclamer avec surprise Mais...on est où ?
Diane : - Aucune idée, on est peut-être prises au piège et si c'est le cas, il faut s'échapper rapidement."

Soudain, une vieille femme au visage familier apparut par l'entrebâillement de la porte.
"Vélijlewan ! Les filles sont réveillées !" héla la femme

Diane restait dubitative, ne restituant pas le personnage qui se tenait face à elles.
"Excusez-moi mes chéries, je ne me suis pas présentée. Mon nom est Éliane et je suis l'une des jeunes sœurs de votre grand-mère. Tous ces liens de parenté doivent être difficiles à comprendre mais nous étions une fratrie nombreuse. Enfin soit, j'ai eu vent des récents événements, c'est affreux.
Apolline : -Bonjour ?"


Le dénommé Vélijlewan apparut aux cotés d'Éliane, accompagné d'un garçon qui devait être un peu plus jeune que les jumelles. Alors que Diane se demandait comment on pouvait avoir idée d'affubler quelqu'un d'un nom aussi laid que "Vélijlewan", Apolline adressa un sourire au garçon ce qui eut le don de le faire rougir.


Éliane : "Vel' vous a trouvées endormies au parc central et vous a tout de suite reconnues. C'est avec joie que nous vous accueillons dans notre modeste demeure. Nous sommes de la même famille après tout ! Et nous sommes...normaux.
Diane - C'est gentil mais je pense que ma sœur et moi nous pouvons nous débrouiller seules, avança-t-elle, peu rassurée
Eliane : - Il est évident que vous n'avez pas d'ordre à recevoir de nous. Néanmoins vous n'avez que 10 ans et il est impensable de ne pas vous offrir un toit et de la nourriture.
Apolline : Merci.


Eliane : "Mon mari prépare des gaufres. Depuis qu'il a pris sa retraite , VJ est un as de la cuisine... et une vraie bête de sexe !
Vel' : - Maman, pas devant les enfants.
Eliane : - Oh, pardon.
Apolline : - Est-ce que vous avez ramené Tartiflette ?
Eliane : - Qui est ?
Apolline : - Notre bon vieux chien.
Eliane : - Euh, mon Vélou' t'as ramené un clébard ?
Vel' : - Eh bien, il n'y avait pas de chien avec les filles.
Eliane : - Nous le retrouverons, ne vous en faites pas mes chéries."
Mais elles ne se faisaient pas de faux espoirs, Tartiflette n'était plus très intelligent.


Le petit groupe se dirigea vers la cuisine d'où une agréable odeur de pâte cuite chatouillait leurs narines. Ils prirent place autour de la grande table et dévorèrent avec appétit les gaufres. Elles étaient exquises, il fallait l'avouer.


Vélijlewan leur fit faire un rapide tour du propriétaire une fois le petit-déjeuner terminé. Il possédait un jardin de petite taille qui accueillait une piscine.


Apolline : "Est-ce que vous connaissiez notre mère ?" risqua Apolline alors qu'ils traversaient le salon. Celui-ci était d'un style criard typique des années 70.
Vel' : "Eh bien, vaguement. fit l'homme un peu gêné par la question, nous étions dans la même classe au lycée, mais je dois dire que je n'ai jamais été très proche de mes cousins et cousines.
Diane : - Et comment était-elle ?
Vel' : - Gwen était très jolie et...très jalouse. Elle était amoureuse d'un certain Vasile mais malheureusement ce n'était pas réciproque et celui-ci avait déjà une petite amie.
Diane : - Je vois.
Vel' : - Je ne saurais dire quand elle a commencé à sombrer dans la folie. Déjà au lycée, je sais qu'elle n'avait pas de bonnes fréquentations mais Camille n'a jamais vraiment éduqué ses enfants. Désolé de le dire ainsi mais c'est vrai. Passons à un autre sujet voulez-vous ?"


Les filles acquiescèrent même si elles auraient aimé en savoir plus à propos de leur mère que simplement les horribles choses qu'elle avait commises. Après tout, c'était leur mère et elle les aimait sans doute très fort, où qu'elle soit.

Camille et Davy ont eu 4 enfants ensemble. Roxanne, se tenant toujours à part finira par quitter très tôt le foyer pour vivre sa vie avec un moniteur de colonie de vacances. Théophile quant à lui, dragueur intrépide comme son oncle Jon finira par trouver le grand amour dans cette même colonie : Alison. Gauthier s'éprend de la cadette d'une famille riche de Twinbrook avec qui il aura une fille.
Snow est la petite dernière, ses cheveux bleus ont toujours étonné son entourage. Surdouée à l'école, elle s'y ennuie souvent.
 
Petite anecdote : Les Amaryllis ont tenté d'accueillir des colocataires dans leur maison mais rares sont ceux qui ont survécu. 

Camille, elle, vit une liaison avec Sinbad avec qui elle aura des jumelles : Gwen et Swen.

Les aînés ayant déjà construit leur vie ailleurs, il ne reste que les jumelles et la petite Snow aux cheveux bleus. Celle-ci, adorée de tous vole la vedette à ses demi-sœurs
Gwen, d'une jalousie maladive depuis sa plus "tendre" enfance, ne supporte pas cela et rêve d'être l'héritière qui sera sous le feu des projecteurs. Un jour, un homme mystérieux passe un accord avec elle et propose de tuer ses deux sœurs, celui-ci proposant un prix bien trop élevé, Gwen assassinera de sang-froid ses concurrentes.On apprendra qu'il s'agit du frère de Sinbad : Il s'appelle Goodwin

Evidemment, on remonte aisément la piste jusqu'à Gwen. Celle-ci se retrouve dans un hôpital psychiatrique légèrement "vieux jeu" dans lequel la torture par électrochocs est de coutume. Faisant un déni de grossesse, elle accouche une nuit de deux filles. Celles-ci, par chance, sont sauvées des mains de l'assistante sociale par Océane(sœur à Camille). Le secret de ces filles est gardé quelques années, et personne en dehors des Amaryllis n'est au courant de leur existence.
 

Neuf années passent, Gwen est mise en liberté surveillée quand soudain, toute trace d'elle disparaît. Le dossier sur elle est à nouveau ouvert mais peu d'indices sont trouvés. On apprend simplement que le père des deux filles n'est autre que Goodwin.
Sinbad, sans doute autant fou que sa fille Gwen, décide qu'il n'y a plus rien à perdre et profite de Camille qui prend de l'âge et finit par la tuer "sans le vouloir".

Les deux filles de Gwen : Apolline et Diane, décident de fuir pour sauver leur peau.

Camille et Océane : 

Alors que leurs parents faisaient des différences entre les deux "fausses" jumelles, Camille et Océane étaient toujours fourrées ensemble pour faire la fête ou... des bêtises. Cependant, même si elle aime beaucoup sa sœur,Océane rêve d'une vie très différente. Elle s'en va donc précocement et laisse l'héritage à Camille.
Camille se marie avec son amour du lycée, Davy -qui étant plutôt laid, a souffert de nombreuses blagues-.

Jon et Eliane : 

Jonathan (image 1) est le grand frère d'Eliane. A 15 ans, Eliane tombe amoureuse de son propre frère qui en a alors 18. Profitant de son physique avantageux, il a l'habitude d'enchaîner les conquêtes amoureuses. C'est lui qui réprime sa sœur avant que leurs baisers n'aillent trop loin. Eliane, supporte mal cette "rupture" et se renferme sur elle-même. Heureusement, une rencontre la fait changer d'avis; Vj (image 2) avec qui elle passera le reste de sa vie.

Tesse et Emma :

Ces filles sont deux copies conformes, d'une nature assez sage quand on les compare à leurs frères et sœurs. Emma, est la seule des deux à partir à l'Université pour des études dans la Communication. Jon, alors plus âgé, part également avec elle, cependant, il voit plutôt le campus comme un lieu grouillant de jeunes filles n'attendant que lui. A la fin de l'année, Emma s'envole pour la France où elle rencontre un certain Stephen Purple.

Yo ! Pour ceux qui ne sont pas dans le game...hum...bon, un Legacy c'est assez "simple", un Sims arrive sur un graaaaand terrain vide, il a quasi pas de sous et il devra faire des enfants qui devront faire des enfants qui devront faire des enfants, qui devront faire des enfants, qui devront faire des enf...
Et tout ce bazar là sur 10 générations.
Les règles détaillées sont ici : Les règles par Pinstar ou Les règles traduites en Français

Bien sur comme toute débutante qui se respecte, je respectais les règles AU DÉBUT (pas de triche blablabla), et puis je me suis dit que sur 10 générations ça risquerait de devenir plutôt ASSOMMANT !

Ainsi j'ai décidé à partir du milieu de la 3e Génération de scénariser un peu tout ceci...à ma manière (vous êtes prévenus).
Soit, n'ayez donc pas peur des mots parfois un peu crus et des esprits corrompus.

Enfin, je vis une profonde histoire d'amour avec mes Sims 3 depuis 5 ans, ainsi, j'illustrerai uniquement avec ce jeu.

♣ J'aurai le droit à testingcheatsenabled true/false (si besoin vital dira-t-on, ce code est méchant, vaut mieux l'éviter) et évidemment hideheadlineeffects on/off pour ne pas avoir des photos avec des bulles de conversation ou des jauges de compétence.
♣ Il est interdit d'avoir recours aux codes d'argent, mais de toute façon, si j'utilise motherlode vous ne le saurez pas MOUHAHAHA
♣ Il est interdit de tromper la Mort
♣ Je ne compterai pas les points. Qui le fait d'ailleurs ?
♣ Je vais tenir 10 générations de petits êtres de pixels.

♦ Ce Legacy est un matriarcat (= héritières)
♦Tous les accouchements se feront à la maison.
♦ J'utilise ce que la ville dans laquelle habitent mes Sims propose déjà. C'est-à-dire que :
- Je ne crée pas mes maisons (sauf à la G1 parce que la famille n'a pas beaucoup de sous), j'utilise et remeuble celles déjà disponibles dans le jeu.
- Je ne crée pas les personnages (sauf rares exceptions), je joue avec les histoires des familles pré-crées des villes ou je fais intervenir des Sims d'autres Legacies.

A retrouver ici : Là où tout commence

Ou lire le résumé 

A retrouver ici : http://lew-legacy.skyrock.com/5.html

Ou lire le résumé

A retrouver ici : http://lew-legacy.skyrock.com/19.html

Ou lire le résumé

Màj 46 Un nouveau départ

Màj 47 Les enfants aux yeux noirs

Ce Legacy est à retrouver depuis son début ici. Etant donné que je l'ai commencé en 2013 sur une autre plateforme, importer tout ce qui a été déjà posté ici, sur CanalBlog se révèle long et...inutile.

Ainsi, si le coeur vous en dit, je vous donne rendez-vous sur mon autre blog pour retrouver les aventures des Amaryllis depuis le début (je vous rassure, cela se lit vite, j'ai fait le test sur mon chéri). Sur ce blog, vous pouvez donc retrouver les résumés des générations que vous n'avez potentiellement pas lue (direction le Sommaire). Le Legacy sera publié dans son intégralité depuis la Génération 4.

Merci bien de votre compréhension ♥

Crédit fond du blog